Les poupées Pique & Colegram à La Maison des Maternelles !

Les poupées Pique & Colegram passent à La Maison des Maternelles !

Les poupées Pique & Colegram à La Maison des Maternelles !

Recevoir un appel de La Maison des Maternelles…

Il y a quinze jours, j’ai reçu un appel de Marie Perarnau de La Maison des Maternelles…  Elle souhaitait faire une chronique sur la pédagogie Steiner Waldorf. Ayant fait des recherches sur la poupée Waldorf, elle venait vers moi pour parler des poupées et me proposait de montrer, lors de sa chronique, un kit poupée Pique & Colegram…

Parler puis raccrocher et sourire longtemps… A la satisfaction de voir mon travail présenté dans une émission reconnue dans le milieu de la petite enfance, s’est ajouté la joyeuse sensation que mon travail de fourmi, ce travail quotidien et passionné, pouvait porter ses fruits, tout d’un coup, sans préambule apparent…

C’est avec beaucoup de joie que j’ai donc préparé un colis contenant un kit Bergamote ainsi que deux poupées réalisées, Iris et Bergamote. L’idée était de présenter le contenu d’un kit et de montrer le résultat obtenu! L’envoyer. S’inquiéter un peu qu’il n’arrive pas. S’inquiéter beaucoup en s’apercevant que le Chronopost n’avait pas été livré le lendemain de l’envoi… Etre rassurée d’apprendre qu’il était enfin arrivé, la veille de l’émission…

Les poupées Pique & Colegram à la Maison des Maternelles…

Ainsi, mardi dernier, les poupées Iris et Bergamote ont fait un petit tour sur France 5, sur le plateau de La Maison des Maternelles! Un peu d’inquiétude juste avant, un peu d’excitation positive aussi. Et pendant, un sentiment curieux, comme irréel,  en voyant mes poupées passer de mains en mains sur le plateau. Avec la joie, encore, de sentir une forme de reconnaissance de mon travail. Comme une jolie étape sur mon long chemin. Un coup de pouce pour exister dans le monde de la création, du fait main, de la bienveillance envers l’enfant et la nature.

Voir et penser à celles et ceux qui regardent aussi et qui découvrent Pique & Colegram… Ecouter Marie diffuser tout cela, comme si elle soufflait sur un pissenlit pour éparpiller les aigrettes dans le vent, sans en connaître la destination…

Merci Marie pour la chronique, les mots, la confiance…

 

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